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Le : 27/06/2024

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#Positive Effect Newsletter juin 2024

ACTUS FLASH

  • "Glottophobie" : Il s'agit de la discrimination en fonction de son accent. Il ne suffit pas toujours en effet de parler correctement voire parfaitement une langue. Les accents, marqueurs d'origines géographiques ou sociales peuvent être un frein à l'intégration professionnelle. Bonne nouvelle, au Royaume-Uni où cela est suivi de près, les sensibilisations et formations à ce sujet explosent. #MotduMois (source : Courrier International)
  • A partir de 2030, le Danemark va être le 1er pays au monde à taxer les émissions CO2 des exploitations agricoles et donc des élevages. Un compromis a été trouvé entre le patronat, les syndicats d’agriculteurs et de l’industrie agroalimentaire, ainsi que l’Association danoise de protection de la nature. Les revenus générés seront reversés à un fonds consacré à soutenir la transition verte de l’industrie du bétail pendant au moins deux ans.(Source : Le Monde)


CITATION

" Beaucoup de faux pas ont été réalisés en restant immobile "

#CitationDuMois #BenjaminDisraeli #Sengager #ChaquePetitPasCompte

ACTUS FLASH

  • Pour améliorer la transparence sur l’origine des produits alimentaires transformés, l’indicateur Origin’Info fera son apparition dans les rayons début juillet 2024. Indicateur volontaire, quelque 82 marques intègreront sur l’emballage de leurs produits ce dernier qui vise à identifier l’origine des matières premières des produits transformés. L’objectif est, pour le consommateur, de pouvoir identifier, en un clin d’œil, le pays de provenance d’au moins trois des matières premières principales d’un produit ainsi que, en option, le lieu de transformation principale.(Source : We Demain)
  • Le "livret qui dit NON au cyber-harcèlement" édité chez Bayard fait le plein de prix. Il remporte le Grand Prix des médias et des Régies et le Prix Or catégorie contenus RSE lors de la dernière édition du Grand Prix de la responsabilité des médias et de la communication. On dit oui ! (Source : Influencia)


ART

« On n'arrête pas un peuple qui danse » est un court-métrage du Collectif Minuit 12. "Si l’urgence climatique n’est pas suffisamment entendue, alors nous devons créer plus fort. Danser avec d’autant plus d’ardeur. Imaginer, chorégraphier, sculpter, affirmer la victoire de la vie sur l’absurdité". Voilà leur mission. Avec grâce, puissance et poésie, les danseurs de la compagnie nous rappelle la beauté des corps, la beauté de la mixité, la beauté de l'unité de notre humanité. Ce film s'inscrit dans le Projet Magma : une invitation à la mobilisation des artistes pour le vivant. « Imaginer, c’est hausser le réel d’un ton ». Collectif artistique et activiste, Minuit 12 rassemble de jeunes artistes qui explorent les thématiques écologiques. Fondé par des danseuses, le corps est leur matière première de création. (cf : photo de la couverture / Sources : Instagram / Voir le court-métrage sur YouTube)

#ART #Danse #Engagement #Ensemble #Vivant #Mouvement #Puissance #Universalité

ARTICLES

Vers une industrie du pneu plus durable grâce au noir de carbone

Le noir de carbone (carbon black en anglais, ou CB) est une matière première issue de la combustion incomplète de produits pétroliers lourds, également appelée noir de carbone vierge (vCB). Il est couramment utilisé dans les produits d’usage quotidien de couleur noire tels que les pneus de voiture. Il améliore la durabilité et la résistance à l’usure des pneus. Il est également utilisé dans la production de plastiques, d’encres et de revêtements pour ses propriétés colorantes. L’importance du noir de carbone réside dans sa polyvalence et son rôle fondamental pour ces applications. Son substitut, le noir de carbone récupéré (rCB), produit par pyrolyse thermique, présente deux avantages : tout d’abord, il fournit un moyen durable de recycler les pneus usagés dont le rCB est dérivé. Deuxièmement, il décarbone la production de pneus, car la production de rCB génère cinq fois moins d’émissions de carbone que la production conventionnelle à base de combustibles fossiles (vCB). Le noir de carbone récupéré (rCB) est donc un vecteur de décarbonation pour l’industrie du pneumatique. Cette ressource est encore inexploitée, et avec les innombrables pneus en fin de vie, il y a de quoi faire. (Source : Cdurable)

L'engagement politique en entreprise, incompatible ou bien ?

Vous avez vu votre page Linkedin s'orner de messages politiques, ceux qui prennent la parole contre, et ceux qui réclament que les relations professionnelles se cantonnent à des discussions "neutres". Plusieurs questions : la neutralité existe-t-elle au travail ? A -t-on le droit de parler politique avec ses collègues ? Est-ce que, en tant que dirigeant, je peux inciter mes collaborateurs à aller voter ? Les réponses sont assez simples finalement. Oui, un dirigeant ou un collaborateur a tout à fait le droit de parler politique au travail. En revanche, ils n'ont pas le droit de distribuer des tracts pour tel ou tel parti. Pas non plus le droit de vous dire pour qui voter, même s'ils peuvent donner leur avis et vous inciter à aller aux urnes. Tout est politique, au sens noble du terme. S'investir pour son territoire, créer des emplois, décider de mettre en place des actions locales pour un meilleur respect de ses collaborateurs et de la planète, bien sûr que c'est politique. Y compris faire son potager le weekend ! Thomas Coutrot, chercheur associé à l’Institut de recherches économiques et sociales (IRES) a mis en évidence des corrélations entre conditions de travail, vote et abstentionPour lui, la distribution des richesses ne suffit pas, il faut aussi une distribution du pouvoir. L’idée que le travail puisse être déterminant des comportements électoraux n’est en effet pas du tout courante dans la littérature classique en science politique. C’est pourtant assez évident quand on y pense. Mais l’obstacle intellectuel vient du principe de subordination qui régit la relation salariale. Cette subordination est parfois revendiquée par des entreprises pour son bon fonctionnement ou parfois perçue comme si c’était dans la nature des choses. Le libre arbitre des collaborateurs se retrouve entre parenthèses au travail pour que l’entreprise roule. Pour Thomas Coutrot, cette subordination a des conséquences démocratiques. La principale ? L'abstention ! Les subalternes triment et ils ont en marre. Ils ne se sentent pas toujours partie prenante de leur propre entreprise. Le pouvoir de décider n'est pas dans leur fiche de poste. Le travail répétitif et appauvri engendre passivité politique et abstention électorale. Intéressant en tout cas de regarder aussi via cette "nouvelle" perspective. A Positive Effect Consulting, nous accompagnons les femmes et les hommes des entreprises à tout faire pour faire mieux ensemble, à faire du possible une réalité. Management durable et RSE sont profondément incompatibles avec des valeurs de rejet de l'autre, de la différence, de manipulations, de déni de l'Histoire, etc. Nous voulons continuer à croire et à voir qu'il y a des horizons joyeux, engagés et respectueux dans les entreprises et dans le monde.

(Sources : Carenews / Lire "Le bras long" de Thomas Coutrot)


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